Le Dieu de l’Ancien Testament apparaît comme un Dieu d’amour et celui du Nouveau comme un juge implacable ! A. S. : Je dirais plutôt que la familiarité avec Dieu que les hommes acquièrent au long de l'histoire leur permet de se rendre compte que Dieu est lent à la colère et riche en miséricorde, comme le dit Moïse dans l'Exode, et que Dieu a créé non par la violence, mais par la douceur de sa parole. Le Nom de Dieu dans le Nouveau Testament de la TMN . Il faut savoir que parmi les chrétiens évangéliques, il existe maintenant une tendance qui consiste à se bercer dans un message bâti exclusivement sur la tendresse, le bonheur, la douceur, la … – La grâce de Dieu est la source de salut pour tous les hommes (Tite 2.11). Le fait de savoir que le Dieu de l’Ancien Testament était Celui qui devint Jésus-Christ, montre que l’idée qu’il puisse y avoir une différence entre le caractère du Dieu de l’Ancien Testament et celui de Jésus-Christ dans le Nouveau Testament est totalement erronée ! Ne sous-estimons pas la gravité de nos injustices devant la « sévérité de la justice de Dieu ». Le châtiment divin est omniprésent, par exemple à travers la malédiction d’Adam et Ève (condamnés à la souffrance, au travail et à la mort), les tourments de Caïn, le … Pensons à la parabole du festin des noces. Jean Baptiste ne se gêne pas pour faire appel au courroux divin. Et dans Romains 1 : 18, il déclare que la colère de Dieu se manifeste dans le Nouveau Testament contre toute impiété. Et on peut lire dans le second : « La colère de Dieu se révèle depuis le ciel contre toute impiété… » (Romains 1.18). Ils forment une seule et même entité. Il y a 750 promesses dans le Nouveau Testament, mais seulement 250 bienfaits différents étant donné qu’un grand nombre de ces promesses se répètent dans les différents livres de la Bible. Pour comprendre les différences En le lisant, nous apprenons que la société Watchtower possède des preuves que l'Evangile de Matthieu contenait bien le divin nom.. REMARQUE 1 : Bien que Dieu (Jéhovah) nous recommande dans sa parole la Bible, de faire comme les Béréens … Commençons par étudier la 1 ère partie de l'appendice 1D se trouvant dans la TMN d'étude. Dans le christianisme ancien, le problème se posait de mettre en accord les passions de Yahweh, comme sa jalousie et sa colère, avec la philosophie grecque, selon laquelle Dieu est bon, impassible et donc sans jalousie. L’Ancien Testament décrit la colère de Dieu contre le péché, l’aveuglement et le manque de foi. Jésus lui-même n’hésite pas à évoquer la colère de Dieu. A l’inverse, dans le Nouveau testament, on trouve des versets témoignant de la colère de Dieu “révélée du haut du ciel contre toute impiété et toute injustice des hommes, qui retiennent la vérité captive de l’injustice” (Romains 1:18) ! Certains ne se trouvent pas sous forme de promesse, mais les vérités qu’ils renferment constituent la base de nos droits aux bienfaits de l’Evangile. Dans l'Ancien Testament, Dieu évolue ? Dans l'Ancien Testament, la colère, la fureur, le courroux, la jalousie, l'indignation (d'une racine hébraïque signifiant le débordement), de Dieu se dévoilent en de multiples occasions permettant au feu 1, au torrent 2, à la tempête 3, à la famine, aux bêtes féroces et à l'épée 4, de se déchaîner. Dieu dans l’Ancien et le Nouveau Testament. Un survol de quelques passages bibliques permettra de voir pourquoi la grâce de Dieu est si précieuse pour tous ceux qui ont accepté le salut en Christ. Il n’est donc pas juste d’opposer les deux parties de la Bible. On retrouve la colère de Dieu dans le Nouveau Testament.
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